Le temps des fêtes, le temps de l'année ou l'on passe notre temps a courir et courir encore. Oui, cette période de l'année est magique et merveilleux. Pourtant, tu ne peux pas respirer un seul moment. Tu dois préparé tous les soupers et tous les cadeaux pour nos proches. J'aime beaucoup tous ces moments, mais tu ressort de tous ses party encore plus fatigué qu'au départ. J’essaie donc de prendre quelques petits moments pour moi avant la dernière grande ligne droite jusqu'au nouvel an. J'ai décidé d'appeler une bonne amie a moi, Andrea. Il y a un moment que je ne l'ai pas vu et j'avais envie d'aller patiner un peu avec elle. Nous avons souvent l'habitude de venir a la patinoire de la ville ensemble et on passe toujours un super moment tous les deux. Elle est d'une écoute merveilleuse et j'avais envie de discuter avec elle. J'arrivais donc à la patinoire avant elle, comme toujours, j'ai l'habitude d'arriver en avance car je déteste arrivé en retard. J'attendis alors a l'extérieur, près de la porte d'entrer pour ne pas manqué Andrea. Quelques minutes plus tard, j’aperçus la jolie jeune femme qui s’avançait vers moi. J'allais donc a sa rencontre en ouvrant les bras et lui dis : Andrea ! Comme tu es sublime ! Comment vas-tu ma beauté ? Je la pris dans mes bras et l'embrassais sur la joue pour la saluer. J'étais content de la voir et elle était toujours aussi jolie ! Je me reculais pour l'observer et lui souris.

Les fêtes de fin d’années approchaient à grands pas et comme chaque année, j’étais encore à courir après le temps pour faire tous mes achats et tout préparer pour les réunions de famille. Il me semblait que chaque année ma liste de cadeaux s’allongeait, mais ce n’était probablement qu’une simple impression.

Nous étions dimanche et je profitais de mon seul jour de congé de la semaine pour mettre de l’ordre dans mon logis et pour voir des amis. La veille, j’avais reçu une invitation de Noah pour aller patiner avec lui. Touchée par cette délicate attention, j’avais accepté incapable de résister à la joie de profiter d’une journée en plein air en bonne compagnie. Après avoir passé des vêtements confortables et pris mes patins, je quittai la maison pour me rendre au centre-ville. Bien que nous vivions à San Diego, la municipalité avait réussi grâce une installation des plus sophistiquée à créer une véritable patinoire afin que nous qu’on puisse nous aussi profiter un peu des joies d’un véritable hiver. Sur mon chemin, je profitai des vitrines pour faire du repérage pour mes cadeaux jusqu’à ce que j’arrive à la patinoire. Joliment décorée pour l’occasion, la municipalité avait dressé un énorme sapin tout décoré près de l’hôtel de ville. Autour de la patinoire, on avait également installé différents kiosques qui formaient un marché de Noël du même genre qu’on trouvait un peu partout en Europe. Alors que je m’approchais des lieux, je remarquai une silhouette qui m’était connu. Plus je me rapprochais et plus je pouvais voir les traits du visage de Noah. Ce dernier avait peu changé depuis le temps où nous partagions ensemble nos classes. Il était toujours aussi séduisant et n’importe quelle autre fille plus sensée que moi aurait depuis longtemps accepté ses avances, mais moi je continue à lui dire non. Parfois, je me traitais de dingue. Combien de temps j’allais continuer de rêver d’un impossible amour plutôt que de profiter de la vie? J’en étais là dans mes pensées quand Noah vint vers moi en ouvrant ses bras et me disant :

- Andrea ! Comme tu es sublime ! Comment vas-tu ma beauté?

Toujours aussi chaleureux et accueillant, Noah me prit doucement dans ses bras et me fit la bise sur la joue avant que je ne le salue à mon tour.

- Bonjour Noah, je suis heureuse de te voir, il me semble que ça fait un bail qu’on ne s’est vue. Je suis tellement occupée avec le café que je néglige mes amis … heureusement que tu es patient.

Pour être patient, il l’était. Généreux et compréhensif, Noah avait tout du prince charmant et je savais qu’il soupirait encore pour moi. Son regard le trahissait et me fit rougir. Ne voulant surtout pas lui donner de faux espoir, je tâchais toujours d’insister sur l’importance de notre amitié à mes yeux. Après les salutations d’usages, nous firent notre entrée dans l’atrium de la patinoire pour chausser nos patins. Une fois prêts nous firent nos premier pas sur la glace au rythme d’une musique endiablé. Après un ou deux tours, je perdis l’équilibre et me ramassai rapidement le derrière sur la glace. Amusée par ma chute, je me mis à rire en même temps que mon ami, qui m’aida si gentiment à me relever.

- Merci … Comme tu vois, ce n’est pas demain que je vais pouvoir me recycler en championne olympique de patin artistique!